Conférences
conferences Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Cristina Buffon   
02-09-2010

CONFERENCES 2010 

   27 septembre 2010

« SORTIR DU SENTIMENT DE CULPABILITE » 

11 octobre 2010

« SE RECONCILIER AVEC LE PERE » 

22 novembre 2010

« L’ABANDON ou comment guérir et transformer la dépendance » 

13 décembre 2010

« L’ESTIME DE SOI ou comment retrouver la valeur »   

19h30

20.-

centre Espaces Temps                             

Dernière mise à jour : ( 02-09-2010 )
 
conférence Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Cristina Buffon   
12-03-2010
 
CONFERENCE
 
«LES ETAPES DU PARDON «  

Lundi 22 mars 2010

 19h30

20.-

Centre Espace Temps, carouge  

Cristina Buffon, coach de vie/thérapeute

0787393823

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Dernière mise à jour : ( 12-03-2010 )
 
MEDITATION Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Cristina Buffon   
04-02-2010

MEDITATION 

« VIVRE »

SE RECONNECTER A LA VIE 

  MERCREDI 10 FEVRIER 2010 

CENTRE ESPACE TEMPS

19H30

20.-

Cristina Buffon/coach de vie

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Dernière mise à jour : ( 17-08-2013 )
 
CONFERENCE " DE LA DEPENDANCE A L'AMOUR VRAI" Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Cristina Buffon   
22-11-2009

                                     CONFERENCE«  DE LA DEPENDANCE A L’AMOUR VRAI »  

L’amour de soi est loin d’être  de l’égoïsme, mais une condition essentielle pour grandir et se vivre dans le juste lien à l’autre,  être capable d’ouverture, d’écoute et d’empathie réelles. L’amour de soi et pour soi permet de se nourrir en permanence et de se donner, de sortir de la dépendance et de la perte de soi. La fusion est un non amour de soi, mais une dépendance à l’autre, un lien de besoin pour survivre. L’amour est souvent confondu avec l’attachement, le moteur n’est pas le même. L’amour permet, offre, élève et fait grandir, tandis que l’attachement, enferme, réduit, exige et attend. Le moteur de l’un est la liberté tandis que l’autre est l’emprisonnement. 

Vivre sans amour, c’est être dans la lutte, la résistance contre,  survivre pour exister, pour imposer, pour se dire dans la force, l’agressivité ou la soumission, pour être victime.

Vivre sans amour, c’est poser des limites contre l’autre et non pour soi, c’est mettre à distance l’autre par peur ou être trop près pour la même raison. J’exige, j’attends, je prétends et je projette mes prismes. 

 Vivre sans amour, c’est être dans la peur, la culpabilité, le jugement de soi ou la honte, histoire qui nous raconte combien se vit le non accueil de l’être qui se vit en nous : toute notre énergie se tend dans l’urgence de ce que je devrais être , faire ou donner et dans ce que l’autre ou la société devraient faire de même.

 Vivre sans amour, c’est n’avoir aucun espace ou je prends le temps de me donner douceur, temps et patience. C’est entretenir l’enfant blessé, sa rage, son impuissance, sa demande d’amour inconditionnel reste comme une plaie ouverte.  

Vivre sans amour c’est entretenir le pouvoir, le vouloir, l’avoir et le savoir comme source de reconnaissance, d’illusion d’amour, de protection, de place, d’acceptation et d’intégration. 

  Vivre sans amour de soi, c’est ne pas avoir l’impression ou le droit de recevoir, d’être aimé de manière inconditionnelle : sans conditions veut dire quoique je fasse, qui que je sois, quelque soient mes intérêt.

Vivre sans amour de soi veut dire ne pas pouvoir offrir ce même amour réellement à l’autre, ce sera un amour conditionnel, limité en fonction d’un certain nombre de critères : l’essence de cet amour partira de la tête et non du cœur.  

Vivre sans amour profond, nourrissant et vrai se résume simplement dans la quête illusoire après laquelle court notre humanité : tant dans les vides remplis par nos « trop » manger, fumer, consommer, compulser que par le détournement du sens en le donnant à notre soif de pouvoir, de vouloir, d’avoir et de savoir qui nous raconte une illusion de maîtrise et de contrôle sur nos peurs fondamentales. Ces quatre mamelles de l’ego sont importante mais au service de notre être et non comme moteur essentiel. 

 Nous sommes tous en chemin vers ce trésor, en quête, dans la conscience ou non. Une quête de soi et de l’autre , une quête de cet amour vrai , profond qui viendrait étancher cette soif intérieure de vivre et de sens. La quête se vit d’abord avec soi mais à travers l’autre, cet autre censé nous aimer et répondre à nos besoins.  Notre quête de l’autre passe par soi, dans cette exigence de répondre aux besoins et de correspondre à ce que nous identifions comme des repères construits de l’extérieur pour nous définir et définir l’ensemble. La quête de l’amour passe par l’illusion d’abord de ce qu’il devrait être, de ce que serait donner ou recevoir, tandis que l’amour est. Il se vit, se dégage et émane de soi comme une essence, une vibration, l’être. Longtemps , nous le contenons dans l’idéal de paramètres construits, de comment devrait être cet autre pour que je me sente vraiment aimé et rempli, incapable de voir qu’il n’est pas attente mais réception, qu’il n’est pas offrir mais permettre. Nous recherchons un amour profond enraciné dans un socle qui nous permet de nous sentir plein et nourrit de l’intérieur. La quête vers l’extérieur peut prendre une vie, jusqu’à ce que nous comprenions que l’écueil reste soi, et toutes ces parties de soi qu’il faut aller voir, rencontrer et visiter , faire émerger pour leur offrir la nourriture du non jugement, de l’accueil et de la compréhension.

Tant que cette rencontre intérieure ne s’opère pas, l’amour reste partiel, confondu avec des sentiments, éventail mêlé de résonances, d’attentes et de vides à combler, d’espoir aussi que l’autre sera « le bon », l’homme ou la femme qui saura nous offrir ce bonheur tant recherché.  Se rencontrer à l’intérieur demande de cheminer , pas après pas, de notre mental à notre cœur. Chemin parsemé d’ignorance, de croyances, de résistance, de lutte,  de vide et d’absence , de lourdeurs à libérer et d’ancien à remplacer. Chemin d’espoir et de peur, de retour et d’aller, de renoncement, d’acceptation finalement pour que ce qui  prime et que ce qu’on croit s’invalident. Le mental pense, croit, sait, veut, peut, interprète et contrôle. Le cœur accueille , accepte, permet et offre.  

MERCREDI 2 DECEMBRE 200919H3020.-Centre Espace temps, Carouge

 

STAGE SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 JANVIER 2010  

 
  
Dernière mise à jour : ( 17-08-2013 )
 
conférence et stage " traverser la peur et l'angoisse" ou comment modifier le moteur de notre vie Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Écrit par Cristina Buffon   
08-11-2009
       «  TRAVERSER LA PEUR ET L’ANGOISSE » ou comment modifier le moteur de notre vie.    La peur est une émotion dite primaire, elle permet de s’adapter au danger par la fuite, l’attaque ou le fait de se figer. Or, au-delà de ce rôle, elle représente également de manière plus profonde, le socle sur lequel l’humain s’est construit.Peur de manquer, peur de perdre, peur de ne pas être aimé et reconnu, peur de ne pas être capable, peur de se retrouver seul, peur du jugement et du pouvoir de l’autre, et tant d’autres peurs qui constituent la colonne vertébrale de notre existence. Elles sont là, présentes, conscientes ou la plupart du temps sourdes et enkystées. Elles se traduisent  par nos sentiments d’impuissance, les efforts et les stratégies utilisés à la fois pour ne pas les ressentir et se donner l’illusion de les contrôler. Elles se traduisent à travers les croyances sur soi, la vie et les autres , qui nous limitent, nous retiennent de plonger dans la vie et de manifester notre potentiel. Or , tant qu’elles ne sont pas acceptées, comprises et intégrées , ce peurs continuent d’être le moteur de notre vie et d’attirer les situations en lien aux croyances profondes qui y sont rattachées.Si je porte en moi un enfant qui a peur de perdre et de manquer, je peux ne pas être en lien à ces peurs, mais ressentir un profond sentiment d’impuissance et me vivre dans une perpétuelle agitation pour faire, être sûr et contrôler mon environnement pour justement ne pas me confronter au manque ou au perdre. Quand je n’ai pas, j’ai peur, quand j’ai, j’ai peur de le perdre, et de ce fait je vais essayer d’avoir plus pour être rassuré au cas ou je risque d’avoir moins ou de ne plus avoir. Ma vie devient alors esclavage et toute mon énergie, mes pensées, mes ressources seront  tournées vers l’illusion d’une maîtrise, au lieu d’être  au service de mon potentiel et du développement de celui-ci.Laisser nos peurs guider notre vie s’apparente à de la survie, tant d’énergie est déployée uniquement dans le but de les apaiser et de se donner l’illusion de les maîtriser, or ce n’est qu’une illusion, le scénario se jouera sans fin avec une indicible morsure d’appréhension et d’insécurité, quoique que nous fassions, quoique nous ayons, car la peur ronge en permanence. Il s’agit alors de comprendre le moteur de la peur  et ces ramifications, de l’accepter, l’intégrer, mais ne plus le laisser être le moteur principal de notre vie. Traverser la peur veut dire apprendre à sortir de l’ émotion  de  peur, se désidentifier  et d’aller derrière les voiles de celle-ci, en identifier clairement les contours, les  accueillir, les accepter, les intégrer et en transformer l’énergie en ressource, tel un alchimiste qui transmute le plomb en or.Traverser la peur  veut dire parcourir le chemin qui nous conduit sur le socle de la confiance, du lâcher prise et de la foi pour s’y installer pleinement et en constituer le moteur principal de notre vie.  Conférence Lundi 16 novembre 200919h3015.- Stage 12 et 13 décembre 2009420.-Samedi 9h/18h30-dimanche 9h30/18h00   
Dernière mise à jour : ( 17-08-2013 )
 
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